Le ministère de la Santé, de l’Hygiène publique et de l’Accès universel aux soins a signé à Lomé le 02 novembre 2021, de nouveaux engagements sur la planification familiale à l’horizon 2030. C’était à l’occasion de la célébration des Journées mondiales de la contraception et de la sécurité des patients.
Elles sont de plus en plus nombreuses les méthodes contraceptives conseillées par les spécialistes de la santé reproductive dans le monde. Que ce soit les comprimés, les injections, la ligature des trompes, la vasectomie ou encore les interventions chirurgicales, l’objectif est de permettre aux adhérents de créer de meilleures conditions d’épanouissement de leurs familles.
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De manière plus précise, le Togo s’engage à « garantir l’accès des jeunes à des informations complètes et services de qualité adaptés à leur âge et à leurs besoins pour leur permettre de faire des choix éclairés sur leur santé sexuelle et reproductive entre 2022 et 2026 afin de réduire le taux de natalité chez les adolescentes au Togo de 79% en 2017 à 56% en 2026 », selon afrikelles.com
Les autres engagements pris lors de cette rencontre concernent la hausse du taux de prévalence contraceptive moderne (TPCm) chez les femmes en union, de la disponibilté des méthodes contraceptives dans les centres de santé, de la subvention de l’Etat dédiée à cette cause ainsi que le renforcement de la coordination inter et intra sectorielle dans le pays.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS), le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA), la GIZ ont pris part à la célébration de cette cérémonie.
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