La 5ème édition de la Semaine nationale du cinéma togolais (03 au 07 août 2021) suscite des interrogations et réflexions. Plateforme de rencontre annuelle entre différents acteurs du domaine et le public, elle serait insuffisante pour porter très haut le cinéma togolais à l’instar du Nigéria, le Maroc et d’autres pays qui possèdent leurs propres industries cinématographiques. Le journaliste Anoumou Amekudji, enseignant-chercheur à l’université de Lomé établit, en quelques phrases, le bilan de la semaine. Il propose ensuite, dans cette chronique, des initiatives pouvant contribuer au rayonnement du cinéma togolais. Bonne écoute !
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