Activités sexuelles très intenses, quel risque pour les jeunes filles ?

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Déstresse, plaisir, relaxation, épanouissement, il s’agit là de quelques bienfaits de la pratique sexuelle dans la vie d’une femme. Les rapports sexuels sont indispensables pour les hommes et en l’occurrence les femmes, dans la mesure où ils améliorent leur vie de femme au foyer. Bien pratiqué, le sexe renforce les sentiments entre deux conjoints et entretient le corps de la femme en le rendant plus féminin. Mais est-il tout autant conseillée à tous les âges ?

Lorsqu’une jeune fille s’adonne très tôt à des activités sexuelles intenses, la règle de l’adage selon lequel l’excès de toute chose est nuisible s’applique. A cause de son corps qui est en formation du fait de la puberté, le col de l’utérus est plus vulnérable aux lésions. De ce fait, lorsqu’une infection au Virus du papillome humain (VPH) passe par là, l’adolescente s’expose à un cancer de cette partie sensible du corps, surtout si son partenaire a déjà eu des relations sexuelles avec d’autres femmes atteintes de la maladie.

Quand peut-on parler du cancer du col de l’utérus ?

Selon vidal.fr, c’est à partir du moment où la partie basse de l’utérus qui est reliée au vagin présente des cellules anormales. Cela pourrait arriver si et seulement si elle s’infecte du fait de la présence du VPH. Ce dernier se transmet par voie sexuelle.

Les symptômes du cancer du col de l’utérus

A priori, cette maladie n’a pas de manifestations particulières ou de symptômes. Cependant, l’apparition des signes se constate au stade final de la maladie avec des saignements en dehors des règles lors des rapports sexuels, ou encore des pertes blanches anormales.

Qu’est-ce qu’il faut faire ?

D’office, le dépistage régulier et la vaccination contre le VPH pour prévenir l’apparition de lésions précancéreuses. Ils permettent aux spécialistes de détecter les lésions cancéreuses s’il y en a. Des directives allant de la surveillance de l’évolution des lésions ou encore leur destruction totale seront recommandées aux personnes en question.

Selon le dernier bulletin épidémiologique publié en septembre 2019 par Santé publique France, 40% des cas de cancer du col de l’utérus sont diagnostiqués chez des femmes de moins de 50 ans. Ce cancer cause 1 100 décès par an.

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